Entre les deux réalisateurs indépendants qui bordent la blaxploitation : Melvin Van Peebles qui en est le précurseur et Charles Burnett qui annonce par son cinéma réaliste les nouveau cinéma afro-américain incarné par Spike Lee, de nombreux réalisateurs ont percés pendant la période blaxploitation.
Dans les prochains billets, je présenterai la filmographie dequelques-uns des réalisateurs importants de cette période. Des Afro-américains comme l'indépendant John Evans et son œuvre concentrée sur 5 ans, l'inconnu et allumé Bill Brame, Ivan Dixon (dont j'ai récemment chroniqué The Spook Who Sat by the Door) ou le spécialiste des comédies apolitiques Michael Schultz qui débuta par un film d'action (Honeybaby, Honeybaby). Ou bien d'ordinaires réalisateurs blancs de films Z qui profitent de la période comme Jack Starett, Michael L. Fink, William Girdler...
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