Malcolm Turner (Martin Lawrence) est toujours agent du FBI, mais il travaille dans les bureaux. Sherry (Nia Long) est enceinte d'une petite fille et ils aspirent à plus de tranquillité.
Alors qu'un des ses collègues est assassiné en mission, Malcolm demande à revenir sur le terrain, mais il est mis sur la touche.
Il ressort alors les affaires de Big Momma, et arrive à se faire embaucher comme nounou pour les enfants du principal suspect, Tom Fuller (Mark Moses), soupçonné de concocter un virus informatique...
Il ressort alors les affaires de Big Momma, et arrive à se faire embaucher comme nounou pour les enfants du principal suspect, Tom Fuller (Mark Moses), soupçonné de concocter un virus informatique...
Si le premier volet incitait à une certaine indulgence, cette séquelle est quant à elle totalement inutile, malgré des résultats financiers mirobolants (près de 140 millions de recettes) ; John Whitesell récidivera avec Big Mommas : Like Father, Like Son. Les blagues sont attendues, l'esprit général beaucoup plus lourd et les personnages secondaires bien peu intéressants...
L'importation du scénario d'un quartier noir de Géorgie à une fastueuse maison de riches californiens fait passer Big Momma d'une opulente grand-mère sympathique à la vieille nounou caricaturale d'antan façon Hattie MacDaniel.
Le casting s'en ressent et devient presque totalement blanc, et l'on regrette d'autant plus l'absence de Paul Giamatti. Du casting original, seuls subsistent Nia Long, Jascha Washington et Ramsey Luke, visibles de façon très sporadique. A noter aussi la présence de vieux acteurs, l'un afro-américain : Roland "Bob" Harris (Hitman, Black Girl, The Slams, I Escaped From Devil's Island, Truck Turner), et l'autre blanc : Stocker Fontelieu, déjà évoqué ici puisqu'il joue dans quelques titres chroniqués sur ce blog comme le James Bond blax' Live and Let Die, Mandingo, The Toy...
L'importation du scénario d'un quartier noir de Géorgie à une fastueuse maison de riches californiens fait passer Big Momma d'une opulente grand-mère sympathique à la vieille nounou caricaturale d'antan façon Hattie MacDaniel.
Le casting s'en ressent et devient presque totalement blanc, et l'on regrette d'autant plus l'absence de Paul Giamatti. Du casting original, seuls subsistent Nia Long, Jascha Washington et Ramsey Luke, visibles de façon très sporadique. A noter aussi la présence de vieux acteurs, l'un afro-américain : Roland "Bob" Harris (Hitman, Black Girl, The Slams, I Escaped From Devil's Island, Truck Turner), et l'autre blanc : Stocker Fontelieu, déjà évoqué ici puisqu'il joue dans quelques titres chroniqués sur ce blog comme le James Bond blax' Live and Let Die, Mandingo, The Toy...
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