Los Angeles. Une bande d'Afro-Américains attaquent un repère d'une organisation mafieuse ; ils raflent l'argent et s'emparent d'importants livres de compte. Les cambrioleurs sont en fait un groupe de révolutionnaires du Black Action Group mené par Seth et Scott (Bernie Casey & Herb Jefferson Jr.).
Capelli (Martin Landau), un responsable de l'Organisation qui camoufle ses activités derrière un poste de concessionnaire automobile médiatique, a pour mission de retrouver les voleurs et surtout les livres de compte.
Peu attiré par le militantisme, Gunn (Jim Brown) est le propriétaire fortuné d'un nightclub réputé, le Gunn's Club. Il refuse d'abord de s'impliquer dans ce sac de nœuds, et accepte juste de garder les livres de compte tant convoités dans son coffre.
Cependant, Gunn va vite changer d'avis après l'assassinat de son frère Scott...
Fusillades, courses-poursuites, lutte à main nues, tortures... Tous les ingrédients sont réunis pour un black action movie plutôt réussi, à l'intrigue agréable et à la réalisation rythmée. Jim Brown joue mieux les scènes d'action viriles que les moments d'émotion, et finalement mieux vaut ça que l'inverse puisque c'est plutôt ce qu'on attend de lui.
Probablement grace au scénario qui l'ancre dans une intrigue politico-mafieuse et un décor urbain, ce Black Gunn s'avère un cran au-dessus de Slaughter (à qui Robert Hartford-Davis emprunte l'idée des grandes focales pour certaines scènes de baston).
Comme tout bon film blax, les cascadeurs Bob Minor et Henri Kingi sont aux affaires, tandis que le casting se compose de seconds ou troisièmes rôles déjà vus ailleurs : Brenda Sykes, Bernie Casey, Herb Jefferson Jr., Rick Ferrell, Jeanne Bell, Jay Montgomery.
Comme à l'accoutumée, un ou deux acteurs blancs connus viennent donner la réplique au héros ; ici c'est Martin Landau (que l'on a pu croiser dans le catastrophique They Call Me MISTER Tibbs ! mais qui est surtout connu pour les premières saisons de Mission Impossible puis celui oscarisé dans Ed Wood de Tim Burton) et Bruce Glover qui interprète à merveille un second couteau vicieux et raciste.
Le casting fait la part belles aux anciennes gloires sportives avec Vida Blue (base-ball) et les footballeurs Deacon Jones, Timothy Brown (premier rôle de Dynamite Brothers et Black Heat) et Gene Washington.
Capelli (Martin Landau), un responsable de l'Organisation qui camoufle ses activités derrière un poste de concessionnaire automobile médiatique, a pour mission de retrouver les voleurs et surtout les livres de compte.
Peu attiré par le militantisme, Gunn (Jim Brown) est le propriétaire fortuné d'un nightclub réputé, le Gunn's Club. Il refuse d'abord de s'impliquer dans ce sac de nœuds, et accepte juste de garder les livres de compte tant convoités dans son coffre.
Cependant, Gunn va vite changer d'avis après l'assassinat de son frère Scott...
Fusillades, courses-poursuites, lutte à main nues, tortures... Tous les ingrédients sont réunis pour un black action movie plutôt réussi, à l'intrigue agréable et à la réalisation rythmée. Jim Brown joue mieux les scènes d'action viriles que les moments d'émotion, et finalement mieux vaut ça que l'inverse puisque c'est plutôt ce qu'on attend de lui.
Probablement grace au scénario qui l'ancre dans une intrigue politico-mafieuse et un décor urbain, ce Black Gunn s'avère un cran au-dessus de Slaughter (à qui Robert Hartford-Davis emprunte l'idée des grandes focales pour certaines scènes de baston).
Comme tout bon film blax, les cascadeurs Bob Minor et Henri Kingi sont aux affaires, tandis que le casting se compose de seconds ou troisièmes rôles déjà vus ailleurs : Brenda Sykes, Bernie Casey, Herb Jefferson Jr., Rick Ferrell, Jeanne Bell, Jay Montgomery.
Comme à l'accoutumée, un ou deux acteurs blancs connus viennent donner la réplique au héros ; ici c'est Martin Landau (que l'on a pu croiser dans le catastrophique They Call Me MISTER Tibbs ! mais qui est surtout connu pour les premières saisons de Mission Impossible puis celui oscarisé dans Ed Wood de Tim Burton) et Bruce Glover qui interprète à merveille un second couteau vicieux et raciste.
Le casting fait la part belles aux anciennes gloires sportives avec Vida Blue (base-ball) et les footballeurs Deacon Jones, Timothy Brown (premier rôle de Dynamite Brothers et Black Heat) et Gene Washington.
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