BLACK SAMURAI - Al Adamson (1977)

Son supérieur lui annonce que Toki -une ancienne conquête de Sand- a été kidnappée par le vicieux Chavez, l'homme de main d'un puissant sorcier aux activités illicites, Janicot.

Avec sa voiture équipée de gadgets ultra-perfectionnés et son contact sur place, Robert "Black Samuraï" Sand affronte les sbires de Janicot, et rencontre sa maîtresse, Synne (Marilyn Joi) -mi-prétresse vaudou, mi-strip teaseuse- qui en pince pour lui...

La chronique de Nanarland résume parfaitement et avec humour ce premier film

Le montage semble avoir été fait au couteau et des scènes supprimées à l'emporte-pièce, la localisation géographique est impossible et le scénario n'est que prétexte à enchaîner les bastons et les figures. Malgré -ou grâce- à ses faiblesses, on passe un moment agréable, fun et délirant en matant ce Black Samurai (à ne pas confondre avec Black Samouaï -titré aussi Death Force- de Cirio H. Santiago).

Coté casting, les deux méchant ont la tête de l'emploi et nous offrent de parfaites caricatures de brutes vicieuses. Pour sa maigre part, Marilyn Joi arbore des tenues fort jolies et qu'elle porte plutôt bien, mais bien sûr son rôle s'arrête là

Dans une scène où il tente de semer ses poursuivants, Jim Kelly les rosse finalement un par un ; parmi eux, il me semble reconnaître D'Urville Martin (qui n'est pourtant pas crédité au générique).

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