A THIN LINE BETWEEN LOVE AND HATE
Martin Lawrence (1996)
Martin Lawrence (1996)
Darnell (Martin Lawrence) est un dragueur impénitent, mais lorsqu'il aperçoit Brandi (Lynn Whitfield), il est persuadé que ce sera la dernière. Brandi est un femme riche, indépendante, et surtout qui se refuse à lui. Le challenge n'en excite que plus son intérêt.
Or, une fois son objectif atteint, Darnell se rend compte qu'il est amoureux de son amie d'enfance Mia (Regina King). Ulcérée d'être mis sur la touche, brandi va harceler Darnell à tous les instants...
Les producteurs George Jackson et Doug McHenry (New Jack City, House Party 2 et House party 3) sont toujours sur de bonnes affaires : le film rapporte plus de 30 millions de dollars, pour un budget d'à peine 8 millions.
Cette comédie romantique n'a rien d'extraordinaire mais se laisse regarder agréablement. Moins percutant que Boomerang (avec lequel on peut trouver de nombreux rapports), le machisme tout puissant est battu en brèche, de même que les caricatures dans lesquelles est souvent cantonné Martin Lawrence (et dans lequel il sombre plus encore avec Black Knight ou Big Momma's House 2).
Justement, sa composition est plutôt sobre, évitant les pitreries auquel les réalisateurs blancs le aiment à l'employer. Et c'est comme ça qu'on l'aime en somme : déployant ses talents d'acteur sans excès outrancier. En sus, c'est une des premiers films où Martin a des relations sexuelles, qui plus est représentées à l'écran. Et comme d'habitude, l'on remarque que pour les acteurs Afro-Américains, comiques de surcroit, il leur faut participer au scénario ou, comme ici, réaliser leur propre film pour exercer ce droit.
Le casting est exclusivement afro-américains. On reconnaît Faizon Love, Regina King, Miguel A. Núñez, Bobby Brown, Michael "Bear" Taliferro, Tracy Morgan, Tommy "Tiny" Lister, Della Reese. Et aussi l'acteur de la blaxploitation Roger E. Mosley (Hitman, The Mack, Darktown Strutters, Sweet Jesus Preacherman, Leadbelly, Drum, il campe aussi Sonny Liston dnas la biographie de et avec Mohamed Ali The Greatest).
Or, une fois son objectif atteint, Darnell se rend compte qu'il est amoureux de son amie d'enfance Mia (Regina King). Ulcérée d'être mis sur la touche, brandi va harceler Darnell à tous les instants...
Les producteurs George Jackson et Doug McHenry (New Jack City, House Party 2 et House party 3) sont toujours sur de bonnes affaires : le film rapporte plus de 30 millions de dollars, pour un budget d'à peine 8 millions.
Cette comédie romantique n'a rien d'extraordinaire mais se laisse regarder agréablement. Moins percutant que Boomerang (avec lequel on peut trouver de nombreux rapports), le machisme tout puissant est battu en brèche, de même que les caricatures dans lesquelles est souvent cantonné Martin Lawrence (et dans lequel il sombre plus encore avec Black Knight ou Big Momma's House 2).
Justement, sa composition est plutôt sobre, évitant les pitreries auquel les réalisateurs blancs le aiment à l'employer. Et c'est comme ça qu'on l'aime en somme : déployant ses talents d'acteur sans excès outrancier. En sus, c'est une des premiers films où Martin a des relations sexuelles, qui plus est représentées à l'écran. Et comme d'habitude, l'on remarque que pour les acteurs Afro-Américains, comiques de surcroit, il leur faut participer au scénario ou, comme ici, réaliser leur propre film pour exercer ce droit.
Le casting est exclusivement afro-américains. On reconnaît Faizon Love, Regina King, Miguel A. Núñez, Bobby Brown, Michael "Bear" Taliferro, Tracy Morgan, Tommy "Tiny" Lister, Della Reese. Et aussi l'acteur de la blaxploitation Roger E. Mosley (Hitman, The Mack, Darktown Strutters, Sweet Jesus Preacherman, Leadbelly, Drum, il campe aussi Sonny Liston dnas la biographie de et avec Mohamed Ali The Greatest).
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