Le riche rappeur Christopher "C-Note" Hawkins (Big Boi) débarque dans un club huppé, réputé "all white", et exige d'en devenir membre. Le responsable Richard Cummings (Jeffrey Jones) s'y oppose.
Mais le rappeur déroule sa stratégie, et profitant de titres de propriétés oubliés, achète un lot qui comprend le 17ème trou du parcours de golf du club. Lorsqu'en plus, il y tourne des clips avec des danseuses court vêtues, Cummings s'adjoint les services d'une avocate (Tamala Jones)...
Un bon exemple de ces produits estampillé "afro-américain" réalisé par un blanc qui perpétuent les clichés, le rappeur bling-bling (ici Big Boi, la moitié du très bon duo hip-hop OutKast) remplaçant les coons joueurs de banjo d'antan et les comiques désexués des années 80. Produit pour quelques ridicules 7 millions de dollars, les chiffres d’exploitation sont -heureusement- tellement mauvais qu'ils n'en remboursent que deux tiers !
Par ailleurs, et toute considération politique mise à part, le film est bien pauvre, assez peu drôle, et les ressorts sont des plus rouillés. On pourrait se demander comment Queen Latifah -intéressante en tant qu'actrice- se retrouve à produire un tel nanard... c'est vite oublié qu'en tant que productrice elle n'a pas su choisir ses projets à l'image des médiocres The Cookout et The Perfect Holiday.
Pour le casting, citons tout de même Faizon Love, Sherri Shepherd, le rappeur Lil' Wayne, Tamala Jones, Terry Crews, James "Uncle Phil" Avery, Jenifer Lewis...
Le plus drôle étant -comme souvent dans de tels mauvais films "blacks"- le méchant blanc incarné par Jeffrey Jones. Enfin, signalons le rôle mineur de l'acteur nain Tony Cox : il fit ses premiers pas comme Ewok dans Star Wars VI, puis joua de nombreux petits rôles dans bien des productions, citons entre autres I'm Gonna Git You Sucka, Blankman, Friday, Bad Santa ou The Hebrew Hammer.
Un bon exemple de ces produits estampillé "afro-américain" réalisé par un blanc qui perpétuent les clichés, le rappeur bling-bling (ici Big Boi, la moitié du très bon duo hip-hop OutKast) remplaçant les coons joueurs de banjo d'antan et les comiques désexués des années 80. Produit pour quelques ridicules 7 millions de dollars, les chiffres d’exploitation sont -heureusement- tellement mauvais qu'ils n'en remboursent que deux tiers !
Par ailleurs, et toute considération politique mise à part, le film est bien pauvre, assez peu drôle, et les ressorts sont des plus rouillés. On pourrait se demander comment Queen Latifah -intéressante en tant qu'actrice- se retrouve à produire un tel nanard... c'est vite oublié qu'en tant que productrice elle n'a pas su choisir ses projets à l'image des médiocres The Cookout et The Perfect Holiday.
Pour le casting, citons tout de même Faizon Love, Sherri Shepherd, le rappeur Lil' Wayne, Tamala Jones, Terry Crews, James "Uncle Phil" Avery, Jenifer Lewis...
Le plus drôle étant -comme souvent dans de tels mauvais films "blacks"- le méchant blanc incarné par Jeffrey Jones. Enfin, signalons le rôle mineur de l'acteur nain Tony Cox : il fit ses premiers pas comme Ewok dans Star Wars VI, puis joua de nombreux petits rôles dans bien des productions, citons entre autres I'm Gonna Git You Sucka, Blankman, Friday, Bad Santa ou The Hebrew Hammer.
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