BEVERLY HILLS COP 3 - John Landis (1994)
Alors qu'il refusait de faire appel au S.W.A.T., l'intervention menée par Axel Foley (Eddie Murphy) vire à la catastrophe : les petits malfrats qu'il devait arrêter sont la cible de plus gros qu'eux et Foley ne trouve que leurs cadavres... et le commissaire Todd (Gilbert R. Hill) succombe dans ses bras.
Sa vengeance le ramène une fois encore à Beverly Hills, où il n'y a plus que Billy Rosewood (Judge Reinhold) pour lui donner le coup de main.
Avec des méchants se trémoussant sur Diana Ross dès les premières minutes, on sent bien qu'on est dans une de ces mauvaises comédies graveleuses, et en tout cas loin du niveau du second opus des aventures de l'inspecteur Foley.
Le film est centré sur Murphy sans véritablement donner de l'envergure au personnage et les seconds rôles sont bien ternes : les complices des premiers épisodes disparaissent tandis que les méchants sont insipides. Et John Landis peine à trouver un rythme et hésite entre comédie et action...
Le casting est amputé des habitués (seuls apparaissent Gilbert R. Hill et Judge Reinhold). On croise quelques têtes connues telles que Theresa Randle (Jungle Fever, Malcolm X, Space Jam ou encore les deux Bad Boys), Hattie Winston (Jackie Brown), Helen Martin (déjà une grand-mère dans Cotton Comes To Harlem, et protégée des frères Wayans).
Les caméos improbables donnent un petit attrait au film : le soulman Al Green, mais aussi le papa de Star Wars George Lucas, les producteurs et réalisateurs Joe Dante, Barbet Schroeder ou encore John Singleton (Boyz N the Hood) et le mythique Bob Minor -cascadeur et acteur de dizaines de films- dans un tout petit rôle de garde.
Sa vengeance le ramène une fois encore à Beverly Hills, où il n'y a plus que Billy Rosewood (Judge Reinhold) pour lui donner le coup de main.
Avec des méchants se trémoussant sur Diana Ross dès les premières minutes, on sent bien qu'on est dans une de ces mauvaises comédies graveleuses, et en tout cas loin du niveau du second opus des aventures de l'inspecteur Foley.
Le film est centré sur Murphy sans véritablement donner de l'envergure au personnage et les seconds rôles sont bien ternes : les complices des premiers épisodes disparaissent tandis que les méchants sont insipides. Et John Landis peine à trouver un rythme et hésite entre comédie et action...
Le casting est amputé des habitués (seuls apparaissent Gilbert R. Hill et Judge Reinhold). On croise quelques têtes connues telles que Theresa Randle (Jungle Fever, Malcolm X, Space Jam ou encore les deux Bad Boys), Hattie Winston (Jackie Brown), Helen Martin (déjà une grand-mère dans Cotton Comes To Harlem, et protégée des frères Wayans).
Les caméos improbables donnent un petit attrait au film : le soulman Al Green, mais aussi le papa de Star Wars George Lucas, les producteurs et réalisateurs Joe Dante, Barbet Schroeder ou encore John Singleton (Boyz N the Hood) et le mythique Bob Minor -cascadeur et acteur de dizaines de films- dans un tout petit rôle de garde.
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