CLEOPATRA JONES & THE CASINO OF GOLD
Charles Bail (1975)
Charles Bail (1975)
Cleopatra Jones (Tamara Dobson) est de retour. Elle arrive à Hong Kong pour sauver les frères Jonhson (Albert Popwell & Caro Kenyatta), ses camarades pratiquant le kung-fu afro. Elle se retrouve aux prises avec les sbires de la machiévélique et lesbienne patronne du casino d'or : Bianca "the Dragon Lady" Javin (Stella Stevens), qui retient prisonniers les frères Johnson. Cleo est aidée, à son insu, par son alter-ego asiatique, la belle Mi Ling Fong (Ni Tien) et ses poignards brodés de rouge...
Pour ce deuxième opus, on quitte les décors urbains du premier volet pour s'enfoncer dans Hong-Kong et ses marchés, ses places bondées, ses ruelles étroites et ses ninjas par milliers.
C'est une co-production de la Warner et de la Shaw Brothers, la mythique compagnie de Hong Kong, ce qui explique l'abandon du décor urbain, le casting essentiellement chinois et le soundtrack beaucoup moins soul/funk que pour le premier volet.
On retrouve Caro Kenyatta et Albert Popwell, seuls seconds rôles rescapés du film original, à qui le scénario offre une plus grande importance.
La belle Stella Stevens (que l'on voit aussi dans Slaughter) nous offre un énième rôle de méchante lesbienne, ce qui devient tout de même un peu lassant...
C'est une co-production de la Warner et de la Shaw Brothers, la mythique compagnie de Hong Kong, ce qui explique l'abandon du décor urbain, le casting essentiellement chinois et le soundtrack beaucoup moins soul/funk que pour le premier volet.
On passe tout de même un bon moment avec ce film qui alterne action (avec un final haut en couleur de plus de 20 minutes), humour bon enfant et tout de même un certain esprit "black 'n proud".
La réalisation est confiée Charles Bail ; celui-ci avait déjà fait une petite incursion dans la blaxploitation avec Black Samson (et il est aussi cascadeur sur Cleopatra Jones).
La réalisation est confiée Charles Bail ; celui-ci avait déjà fait une petite incursion dans la blaxploitation avec Black Samson (et il est aussi cascadeur sur Cleopatra Jones).
On retrouve Caro Kenyatta et Albert Popwell, seuls seconds rôles rescapés du film original, à qui le scénario offre une plus grande importance.
La belle Stella Stevens (que l'on voit aussi dans Slaughter) nous offre un énième rôle de méchante lesbienne, ce qui devient tout de même un peu lassant...
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