MADEA'S FAMILY REUNION - Tyler Perry (2006)
Victoria (Lynn Whitfield) est une jeune femme splendide en plein préparatifs d'un mariage idyllique avec Carlos (Blair Underwood), un prestigieux conseiller en patrimoine. Mais l'envers du décor ressemble plutôt à un enfer, car Carlos s'avère une brute épaisse qui la terrorise et la bat.
De son coté, sa sœur Vanessa (Lisa Arrindell Anderson) a rencontré un homme qui semble valoir quelque chose.
Quant à Madea (Tyler Perry), elle a failli à son contrôle judiciaire et comme peine se voit confier une jeune fille sans repère (Keke Palmer)...
De son coté, sa sœur Vanessa (Lisa Arrindell Anderson) a rencontré un homme qui semble valoir quelque chose.
Quant à Madea (Tyler Perry), elle a failli à son contrôle judiciaire et comme peine se voit confier une jeune fille sans repère (Keke Palmer)...
Un an après Diary Of A Mad Black Woman, Tyler Perry sort un nouvel opus du monde de Madea, qu'il réalise cette fois. Produit par la très petite Lionsgate (à qui l'on doit par exemple Frankenhood) pour à peine 6 millions de dollars, Perry réussit à nouveau son pari en multipliant par dix les bénéfices.
Ce succès vient confirmer l'existence d'un "phénomène Tyler Perry", qui a même traversé l'Atlantique sans avoir les honneurs d'être distribué en salle.
Dans cette séquelle, il y a bien quelques moments sympathiques. Mais l'ensemble est long, alternant sans cohérence ni liant scènes de liesse, de prêche moraliste, d'un peu de comédie et de moments violents et dramatiques virant parfois au sordide.Et l'on peut se demander une fois de plus pourquoi ce film est vendu comme une comédie (impression renforcée par le personnage récurrent de Madea, interprété par Perry lui-même).
Difficile en tout cas pour ma part de voir où veut en venir ce touche-à-tout tourmenté. S'il y a bien un fil conducteur (les secrets enfouis, la violence conjugale, les familles qui dysfonctionnent...), le propos est trop confu, brouillé par trop de personnages et une volonté de tout traiter et tout mélanger, pour finir en une apothéose évangéliste à laquelle il est difficile pour moi d'adhérer.
Le casting s'étoffe en même temps que la notoriété du réalisateur : Lynn Whitfield et Blair Underwood joue à la perfection l'une la femme battue au bout du rouleau et l'autre le mari violent. D'autres rôles sont tenus par Lisa Arrindell Anderson (Clockers, Big Momma's House 2), Henry Simmons (Above the Rim, Are We There Yet ?), Rochelle Aytes (White Chicks), Afemo Omilami (Trading Places, D.R.O.P. Squad, Remember the Titans, Ray, Glory Road...) et Georgia Allen (qui débuta dans Greased Lightning et le téléfilm Freedom Road). Perry agrandit son cercle d'acteurs marquants du cinéma afor-américain ; il y a toujours Cicely Tyson, mais il s'adjoint aussi la collaboration de Jenifer Lewis et de l'écrivaine Maya Angelou, pourtant si avare de ce genre d'apparitions.
Ce succès vient confirmer l'existence d'un "phénomène Tyler Perry", qui a même traversé l'Atlantique sans avoir les honneurs d'être distribué en salle.
Dans cette séquelle, il y a bien quelques moments sympathiques. Mais l'ensemble est long, alternant sans cohérence ni liant scènes de liesse, de prêche moraliste, d'un peu de comédie et de moments violents et dramatiques virant parfois au sordide.Et l'on peut se demander une fois de plus pourquoi ce film est vendu comme une comédie (impression renforcée par le personnage récurrent de Madea, interprété par Perry lui-même).
Difficile en tout cas pour ma part de voir où veut en venir ce touche-à-tout tourmenté. S'il y a bien un fil conducteur (les secrets enfouis, la violence conjugale, les familles qui dysfonctionnent...), le propos est trop confu, brouillé par trop de personnages et une volonté de tout traiter et tout mélanger, pour finir en une apothéose évangéliste à laquelle il est difficile pour moi d'adhérer.
Le casting s'étoffe en même temps que la notoriété du réalisateur : Lynn Whitfield et Blair Underwood joue à la perfection l'une la femme battue au bout du rouleau et l'autre le mari violent. D'autres rôles sont tenus par Lisa Arrindell Anderson (Clockers, Big Momma's House 2), Henry Simmons (Above the Rim, Are We There Yet ?), Rochelle Aytes (White Chicks), Afemo Omilami (Trading Places, D.R.O.P. Squad, Remember the Titans, Ray, Glory Road...) et Georgia Allen (qui débuta dans Greased Lightning et le téléfilm Freedom Road). Perry agrandit son cercle d'acteurs marquants du cinéma afor-américain ; il y a toujours Cicely Tyson, mais il s'adjoint aussi la collaboration de Jenifer Lewis et de l'écrivaine Maya Angelou, pourtant si avare de ce genre d'apparitions.
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