ALABAMA'S GHOST - Fredric Hobbs (1973)
Une scientifique nazi rencontre, en Inde, le grand magicien Carter. Celui-ci a découvert une sorte de hashish -Zeta- qui confère un pouvoir hypnotique.
Alabama (Christopher Brooks), un gérant de night-club, découvre par hasard l'herbe magique, développe de fabuleux pouvoirs et devient "Alabama, King of the Cosmos".
Mais le fantôme de Carter met en garde Alabama ; une utilisation à des fins mercantiles et mal intentionnées de son pouvoir favorise les vampires. Ces derniers, disséminés dans l'entourage d'Alabama menacent de détruire le Monde.
Mais Carter ne croit pas le fantôme qu'il suspecte raciste...
L'exercice consistant à résumer ce film est plus que périlleux. Il n'existe qu'en VO (dans de piteuses copies 4:3) et, conjugué à un scénario totalement louffoque, je ne garantie pas totalement d'avoir tout compris.
Ce film n'est pas un navet ou un nanar ordinaire que les mariages entre la blaxploitation et l'épouvante savent si bien nous offrir. La catégorie de bon et mauvais ne peut pas s'appliquer à cet ovni. Pas plus que les classifications habituelles... Mélange entre délires psychédéliques très marqués 70's et film d'horreur, avec un touche de Blaxploitation, la quantité de drogue ingérée par le réalisateur/scénariste/producteur devait être gigantesque, tout comme celle nécessaire pour apprécier ce film à se juste valeur.
Un des films les plus déjantés qu'il m'ait été donné de voir.
Rites vaudous, longs intermèdes musicaux, danseuses en transe, foules de hippies visiblement sur-drogués, des numéros de cabaret complètement déjantés (lévitation, apparition de singe en lieu et place d'une femme...), scientifique nazie, vampires, robots, victimes féminines dénudées, bikers... Tout les styles se mélangent ! Non pas comme si l'auteur ne savait pas se situer mais laissait juste aller son imagination et filmait ses rêves sous acides.
L'acteur qui campe Alabama est plus connu pour interpréter Jesus Christ dans The Mack, ou pour son rôle dans l'autre grand OVNI de cette période Space Is the Place. Ann Weldon , elle, joue la mère du héros et on la recroise dans Youngblood, les téléfilms Roots et A Woman Called Moses, puis plus tard les films Panther ou encore I'm Through with White Girls...).
Alabama (Christopher Brooks), un gérant de night-club, découvre par hasard l'herbe magique, développe de fabuleux pouvoirs et devient "Alabama, King of the Cosmos".
Mais le fantôme de Carter met en garde Alabama ; une utilisation à des fins mercantiles et mal intentionnées de son pouvoir favorise les vampires. Ces derniers, disséminés dans l'entourage d'Alabama menacent de détruire le Monde.
Mais Carter ne croit pas le fantôme qu'il suspecte raciste...
L'exercice consistant à résumer ce film est plus que périlleux. Il n'existe qu'en VO (dans de piteuses copies 4:3) et, conjugué à un scénario totalement louffoque, je ne garantie pas totalement d'avoir tout compris.
Ce film n'est pas un navet ou un nanar ordinaire que les mariages entre la blaxploitation et l'épouvante savent si bien nous offrir. La catégorie de bon et mauvais ne peut pas s'appliquer à cet ovni. Pas plus que les classifications habituelles... Mélange entre délires psychédéliques très marqués 70's et film d'horreur, avec un touche de Blaxploitation, la quantité de drogue ingérée par le réalisateur/scénariste/producteur devait être gigantesque, tout comme celle nécessaire pour apprécier ce film à se juste valeur.
Un des films les plus déjantés qu'il m'ait été donné de voir.
Rites vaudous, longs intermèdes musicaux, danseuses en transe, foules de hippies visiblement sur-drogués, des numéros de cabaret complètement déjantés (lévitation, apparition de singe en lieu et place d'une femme...), scientifique nazie, vampires, robots, victimes féminines dénudées, bikers... Tout les styles se mélangent ! Non pas comme si l'auteur ne savait pas se situer mais laissait juste aller son imagination et filmait ses rêves sous acides.
L'acteur qui campe Alabama est plus connu pour interpréter Jesus Christ dans The Mack, ou pour son rôle dans l'autre grand OVNI de cette période Space Is the Place. Ann Weldon , elle, joue la mère du héros et on la recroise dans Youngblood, les téléfilms Roots et A Woman Called Moses, puis plus tard les films Panther ou encore I'm Through with White Girls...).
La scène du concert beatnik à la fin du film, avec l'éléphant qui prend un bain de foule est anthologique. Je rêve d'un DVD restauré à la hauteur de ce petit bijou psychotronique.
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RépondreSupprimer...et de préférence avec une piste de sous-titres...
Mais, là Foxy, j'ai bien peur que l'on rêve... Ou alors c'est une idée pour LeChatQuiFume !?!
Je serais curieux de découvrir ce film...
RépondreSupprimerVivement les nouveaux titres du Chat Qui Fume !
C'est un film devenu assez rare, la VHS originale de la collection Elvira est d'ailleurs vendue une fortune, malgré sa piètre qualité. Il faudrait ququ'un éditeur passionné déniche une bobine et la restaure, effectivement c'est peu probable... Je ne vois qu'un éditeur comme Code Red ou Scorpion Releasing capable de s'aventurer sur ce créneau-là.
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