SISTER ACT - Emile Ardolino (1992)
Deloris Van Cartier (Whoopi Goldberg) est une chanteuse de province, à la colle avec un mafieu : Vince LaRocca (Harvey Keitel). Un soir, elle le surprend tuant un homme... Elle se rend à la police, qui suit depuis longtemps le criminel.
En échange de son témoignage, le Lieutenant Souther (Bill Nunn) la planque dans un couvent.
Or Deloris n'est "pas très catholique" et la vie ascétique en compagnie de femmes blanches s'avèrent un véritable chemin de croix pour la pétillante Deloris, chargée par la mère supérieure de diriger la chorale.
Après son Oscar de meilleur second rôle pour Ghost (devenant la seconde femme noire oscarisée depuis Hattie McDaniel en 1939 !), Whoopie Goldberg a accédé au stade de star d'Hollywood. Et c'est tout naturellement que les studios lui confie la tête d'affiche d'une grosse production. Sister Act sera diffusé mondialement et remportera un franc succès.
Rien de très spécial à évoquer. Le scénario se tient, Whoopie compose à la perfection ; précisons que, comme je l'ai déjà évoqué, il n'est que très peu question de cultre afro-américaine, il n'y a pas de scène d'amour, et les bons sentiments prévalent sur tout propos un tout petit peu social. Le succès appellera malheureusement par séquelle bien pâle (Sister Act 2 : Back in the Habit), bien que réalisée par Bill Duke.
Le casting afro-américain est peu développé. Il faut signaler Bill Nunn dans un de ses premières rôles d'envergure avec un réalisateur blanc, et A.J. Johnson et Jenifer Lewis. C'est encore le creux de la vague pour Harvey Keitel qui se contente là d'un petit second rôle, tandis que celui de la Mère Supérieure est finalement un des plus réussis avec l'interprétation pincée de Maggie Smith (Mrs MacGonnagal dans les Harry Potter).
En échange de son témoignage, le Lieutenant Souther (Bill Nunn) la planque dans un couvent.
Or Deloris n'est "pas très catholique" et la vie ascétique en compagnie de femmes blanches s'avèrent un véritable chemin de croix pour la pétillante Deloris, chargée par la mère supérieure de diriger la chorale.
Après son Oscar de meilleur second rôle pour Ghost (devenant la seconde femme noire oscarisée depuis Hattie McDaniel en 1939 !), Whoopie Goldberg a accédé au stade de star d'Hollywood. Et c'est tout naturellement que les studios lui confie la tête d'affiche d'une grosse production. Sister Act sera diffusé mondialement et remportera un franc succès.
Rien de très spécial à évoquer. Le scénario se tient, Whoopie compose à la perfection ; précisons que, comme je l'ai déjà évoqué, il n'est que très peu question de cultre afro-américaine, il n'y a pas de scène d'amour, et les bons sentiments prévalent sur tout propos un tout petit peu social. Le succès appellera malheureusement par séquelle bien pâle (Sister Act 2 : Back in the Habit), bien que réalisée par Bill Duke.
Le casting afro-américain est peu développé. Il faut signaler Bill Nunn dans un de ses premières rôles d'envergure avec un réalisateur blanc, et A.J. Johnson et Jenifer Lewis. C'est encore le creux de la vague pour Harvey Keitel qui se contente là d'un petit second rôle, tandis que celui de la Mère Supérieure est finalement un des plus réussis avec l'interprétation pincée de Maggie Smith (Mrs MacGonnagal dans les Harry Potter).
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